Cadillac CTS-V wagon: Folie californienne

Essais routiers
mercredi, 6 juillet 2011
Un rêve. Un rêve, je vous dis: débarquer à Los Angeles la veille d’un long congé et se faire demander de choisir entre une Cadillac quatre portes CTS-V toute noire… ou sa contrepartie familiale couleur argent.

Vous, qu’auriez-vous fait? Vous auriez sans doute choisi le coupé – après tout, qui veut d’une familiale?

Mais permettez-moi la contradiction. Car comme à peu près personne au Canada n’a encore conduit la ‘wagon’, eh bien c’est sur elle que mon choix s’est porté pour longer la côte Pacifique.

Et maintenant, une confidence : je n’ai jusqu’alors jamais posé une fesse dans une Cadillac CTS-V. Berline, coupé, familiale… jamais. Oh, j’ai bien entendu moult collègues s’extasier sur le bolide qui porte le V de la victoire (à moins que ce ne soit le V du vice?). Reste que mon attirance, lorsqu’il est question de performance, a toujours été dirigé vers, disons, plus européen que la division V de Cadillac.

Eh bien, j’ai manqué quelque chose. Et pour me reprendre, quoi de mieux qu’une belle familiale avec 556 chevaux sous le capot?

C’est fou, c’est anti-thésique et… ça marche sans V-ergogne.

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