Prius C 2012: Et pourquoi pas?

Essais routiers
lundi, 16 avril 2012
La nouvelle Prius C est la plus intéressante des Prius à conduire, soit. Mais si vous voulez que la sous-compacte hybride soit rentable versus une plus traditionnelle Toyota Yaris, il vous faut beaucoup rouler en ville. Beaucoup rouler.

Toyota aurait été fou de ne pas offrir une sous-compacte à la famille Prius qui, l'an dernier, s'est élargie d'une familiale (la Prius V). Après tout, le constructeur nippon avait la technologie, la plateforme et tout le tralala pour accoucher de la plus petite hybride du marché.

Mais la propulsion essence-électricité est plus logique à bord des véhicules plus gros et plus puissants. Versus à une Toyota Yaris 5-portes (à partir de 14 890$), la Prius C (à partir de 20 950$) ne commence à être "rentable" qu'après cinq ans - et à condition de rouler principalement en ville.

Un gros "chou-ou-ou" alors pour la Prius C? Non, pas du tout.

D'une part, la petite hybride, malgré sa poutre de torsion pour sa suspension arrière (la norme dans la catégorie), ses 99 chevaux et sa direction électrique, constitue la Prius la plus intéressante à conduire.

Oh, on ne parle pas de palpitations tout azimut ici. Reste que la courte mais haute silhouette est bien équilibrée et de bonne connexion avec la route. On aurait voulu que sa boîte CVT (ouais, encore l'une de celles-là...) soit agrémentée de passages manuels, mais sinon, la puissance est raisonnable au quotidien.

Plus gâtée

Il faut dire aussi que...

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